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Bienvenue, chers aspirants musicots !

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Découvrez ici tout ce que vous voudriez savoir au sujet de la “Formation musicale” des Clefs du Solfège.

  1. Une question de pédagogie.
  2. Principes généraux de la méthode des Clefs du Solfège.
  3. Qui suis-je ?
  4. Concrètement, y a quoi dans cette méthode ?
  5. Cette méthode va-t-elle vous convenir ?
  6. Modalités d’inscriptions.

 

1 – Une question de pédagogie.

2 – Principes généraux de la méthode des Clefs du Solfège.

La méthode des Clefs du Solfège “Formation Musicale” vise les mêmes objectifs d’apprentissage qu’un conservatoire traditionnel en… “solfège” ( oui, oui, je sais, quelle surprise !!! ;-)), ou, pour utiliser un mot plus exact mais moins connu, en “formation musicale” (d’où le nom donné à cette méthode… la boucle est bouclée !).

Après une longue période d’enseignement, de questionnements, de réflexion et d’expériences pédagogiques, je voulais des outils “sur mesure”, efficaces, et qui permettent à TOUS sans exception de progresser, de réussir dans son rêve de “musique” (cf “Qui suis-je ?”). Mais je m’étais aussi rendue compte que les progrès n’était pas qu’une affaire d’outils purement techniques et musicaux : bien souvent, les outils peuvent être bons en eux-même, mais c’est leur présentation qui crée un obstacle et mène à des échecs… car bien souvent, on se préoccupe trop de l’outil comme s’il se suffisait à lui-même, et pas assez de celui qui doit l’utiliser ! Remarquez que ce n’est pas un manque de volonté de la part des enseignants (tous les profs sans exceptions vous diront qu’il faut s’adapter à l’élève !), c’est juste qu’il est difficile d’imaginer ce qu’on ne connait pas… or si un prof est devenu prof, c’est quand même qu’il a eu assez de facilités à rentrer dans le moule qu’on lui proposait. Comment alors décoder les noeuds qu’un élève “moins doué” (la notion de “don” étant très discutable) peut se faire dans la tête ?

C’est pour cela que certains principes psychologiques, certaines formes de communication, certaines habiletés physiques sont souvent des préliminaires fondamentaux pour être en capacité d’accéder aux contenus, aux outils techniques et musicaux que l’élève doit apprendre… et c’est peut-être pour cela que ma méthode ne ressemble pas vraiment à celles déjà sur le marché : préparer l’élève est finalement aussi important que le fait de lui présenter le travail à faire !

1 – Étape par étape : on y va TRÈS progressivement !

La méthode des Clefs du Solfège “Formation Musicale” vise les mêmes objectifs d’apprentissage qu’un conservatoire traditionnel en… “solfège” ( oui, oui, je sais, quelle surprise !!! ;-)), ou, pour utiliser un mot plus exact mais moins connu, en “formation musicale” (d’où le nom donné à cette méthode… la boucle est bouclée !).

Après une longue période d’enseignement, de questionnements, de réflexion et d’expériences pédagogiques, je voulais des outils “sur mesure”, efficaces, et qui permettent à TOUS sans exception de progresser, de réussir dans son rêve de “musique” (cf “Qui suis-je ?”). Mais je m’étais aussi rendue compte que les progrès n’était pas qu’une affaire d’outils purement techniques et musicaux : bien souvent, les outils peuvent être bons en eux-même, mais c’est leur présentation qui crée un obstacle et mène à des échecs… car bien souvent, on se préoccupe trop de l’outil comme s’il se suffisait à lui-même, et pas assez de celui qui doit l’utiliser ! Remarquez que ce n’est pas un manque de volonté de la part des enseignants (tous les profs sans exceptions vous diront qu’il faut s’adapter à l’élève !), c’est juste qu’il est difficile d’imaginer ce qu’on ne connait pas… or si un prof est devenu prof, c’est quand même qu’il a eu assez de facilités à rentrer dans le moule qu’on lui proposait. Comment alors décoder les noeuds qu’un élève “moins doué” (la notion de “don” étant très discutable) peut se faire dans la tête ?

C’est pour cela que certains principes psychologiques, certaines formes de communication, certaines habiletés physiques sont souvent des préliminaires fondamentaux pour être en capacité d’accéder aux contenus, aux outils techniques et musicaux que l’élève doit apprendre… et c’est peut-être pour cela que ma méthode ne ressemble pas vraiment à celles déjà sur le marché : préparer l’élève est finalement aussi important que le fait de lui présenter le travail à faire !

D’abord, je fais très attention à travailler et expliquer, non seulement la notion musicale elle-même, mais surtout le chemin mental nécessaire pour y arriver efficacement. Car lorsqu’on est face à un débutant, il est facile de se dire que ses hésitations sont dues à son manque de pratique, alors qu’en réalité, elles peuvent aussi être en lien avec la façon dont il s’y prend, ce qu’on ne voit que plus tard (enfin, lorsque le professeur le voit), quand l’élève n’arrive plus à progresser malgré un travail sérieux (voire acharné).
Dans la même logique, je cherche à détailler chaque étape, la plus petite soit-elle. En effet, les musiciens qui ont réussi ne se rendent pas compte de toutes les compétences sous-entendues qu’ils utilisent. Il est d’ailleurs assez amusant de constater que certaines de mes amies professeurs de musique ne voient pas du tout l’intérêt de certaines de mes leçons, alors qu’à l’inverse, ce sont ces mêmes leçons que les élèves plébiscitent le plus.
En conséquence, ce n’est pas une méthode “minimaliste” et concise, bien au contraire. J’ai pu constater que “simplifier” à l’extrême les présentations finissait par faire perdre toute possibilité de mettre du sens à la notion musicale et, paradoxalement, la rendait donc encore plus indigeste.
Ensuite, je cherche toujours à prendre un point de comparaison dans la vie de tous les jours car souvent, on connait très bien un concept ou un mot, mais tout à coup, rattaché à la musique, les élèves le transforment en monstre incompréhensible.
Le plus important et le coeur de ce qui permet à mes élèves de réussir, selon moi, est le soin que j’apporte à trouver tous les moyens possibles de relier chaque notion musicale au corps, au ressenti, ainsi qu’à tous types de mises en situations musicales. Les faire marcher, danser, chanter, se servir du répertoire, … Dit comme cela, je pense que ce n’est pas très explicite mais c’est pourtant le point le plus visible et le plus apprécié des élèves.
Et pour finir, je m’efforce d’utiliser un français très simple, imagé, afin de me rendre accessible à certaines personnes qui n’ont pas le niveau de connaissances suffisant pour se fier à l’orthographe pour comprendre une phrase. Cela donne donc un style familier et peu élégant, mais, je crois, utile et efficace.
Au final, contrairement à certaines nouvelles méthodes innovantes, je reste très classique dans mes objectifs : que les élèves atteignent les objectifs qu’on leur fixe au conservatoire. Mais il semble que le chemin que je leur propose pour le faire leur soit bien plus agréable et surtout beaucoup plus sûr et efficace.
Autant dire que tant de retours positifs sont très porteurs et stimulants pour moi, ce qui m’aide à créer de nouvelles leçons dans cet état d’esprit “ouvert”, et… qu’un cercle vertueux est ainsi enclenché.

C’est toujours compliqué de se présenter… et de décider ce qui peut intéresser les gens ou pas.

Actuellement, je suis professeur en collège à l’Education Nationale, après avoir obtenu successivement le CAPES externe et l’Agrégation externe 😁. Cette reconversion assez récente n’en est pas vraiment une, puisque cela fait déjà 27 ans que j’enseigne de façon régulière la musique, à savoir le piano, le chant… et le solfège ! Mais je le faisais alors en écoles de musique, conservatoires, associations, jusqu’à monter ma propre “petite école”.

L’amour de la pédagogie.

Il faut dire que la pédagogie chez moi, c’est une passion que je n’ai jamais eu envie de lâcher, même quand j’avais encore une activité de chanteuse lyrique. C’est peut-être cet intéret et cette sensibilité à “la façon d’apprendre” qui a fait que j’ai donné mon premier cours de piano à l’âge de 14 ans (une élève que ma propre prof m’a confié parce qu’elle ne pouvait pas la prendre…) ! Et pourtant, quand j’y repense, je n’avais vraiment pas un gros niveau technique à l’époque,… mais de fait, la situation s’est répétée pendant de nombreuses années : encore étudiante à Paris, j’étais devenue le contact “SOS élèves désespérés (ou désespérants selon le point de vue 😉 )” que donnaient des profs très forts techniquement, excellents musiciens eux-mêmes mais qui… n’arrivaient pas à comprendre pourquoi certains élèves bloquaient comme ça !

Pour moi, cela a été une expérience extrêmement enrichissante : comprendre quels noeuds ces élèves s’étaient fait dans la tête, c’est ce qui m’a poussée à chercher d’autres solutions, d’autres façons de faire… tout en ayant pour objectif qu’ils puissent rester et réussir dans un cursus conservatoire ! C’est d’ailleurs à cette période là de ma vie que j’ai commencé à élaborer les “fiches de cours” que je vous présente dans ma méthode de formation musicale disponible sur ce site.

Et le reste…

Bref, à part ça, j’ai toujours voulu faire de la musique : depuis que je suis née, je chante, et le jour où j’ai appris que cela pouvait être un métier, je me suis simplement dit “parfait ! alors je ferai ça !”. J’avais 9 ans. Pour autant je n’ai pas commencé la musique très tôt car nous habitions à la campagne… C’est d’ailleurs aussi pour cette raison que j’ai commencé par le piano : c’est ce qu’enseignait la seule prof de notre nouveau village (mais en vrai, ça me plaisait quand même aussi). Et cette prof a énormément compté dans la pédagogue et l’artiste que je suis devenue.

Après, je ne vais pas tout vous raconter sinon vous  y êtes encore demain, mais je suis partie “à Paris” (c’est à dire au Conservatoire de Rueil-Malmaison et divers conservatoires d’arrondissements selon les disciplines) et là j’ai fait “tout ce que je pouvais” : piano, chant, formation musicale (solfège) à haute dose bien sûr… mais aussi direction de choeur, écriture, analyse, percussions traditionnelles, danse renaissance, etc… Ma chance c’est d’y avoir rencontré un certain nombre d’enseignants extraordinaires ! Des maîtres, des innovateurs, des personnes à l’écoute et capables de se remettre en question pour m’aider à avancer malgré mes difficultés très atypiques. Certains ne sont d’ailleurs jamais ressortis de ma vie 🥰.

Enfin… j’ai finalement terminé mon parcours avec la formation professionnelle de la Maîtrise de Notre Dame de Paris.

Mais ce qui est particulier quand on veut devenir musicien, c’est qu’on fait un peu tout en même temps : les concerts et les “auditions”, donner des cours, apprendre, … tout se superpose très tôt dans le cursus, et tout continue à superposer pendant longtemps ! C’est comme ça que je n’ai jamais vraiment arrêté de me former (dernièrement pour l’agrégation, j’ai découvert basse continue, et je me suis spécialisée en histoire de la musique par exemple). Et c’est aussi comme ça que j’ai aussi fait rapidement un certain nombre de beaux concerts, que ce soit en soliste ou en tant que choriste.

Une vie qui me passionne quoi !

4 – Concrètement, y a quoi dans cette méthode ?

Organisation des apprentissages.

La magie… et la difficulté du monde de la musique, c’est d’être vaste et composé d’éléments infiniment variés. La partie “formation musicale” en elle-même est déjà un ensemble d’apprentissages, certes complémentaires, mais très différents les uns des autres.

Devant cette problématique, la grande majorité des méthodes opte pour une organisation a priori logique : un mélange d’exercices de niveau homogène sur le rythme, la lecture de notes, voire la culture générale (écoute d’oeuvres) et la théorie dans le même cahier.

Le problème que j’y vois, c’est que, nous l’avons dit, ces domaines sont si différents qu’en réalité, un même élève a rarement un “niveau homogène” sur l’ensemble de ces catégories : il peut être très doué en rythme et avoir beaucoup de mal avec la lecture de notes, ou être à l’aise avec l’écoute mais avoir besoin de temps pour comprendre la théorie… bref. J’ai donc opté, au contraire, pour une organisation par “thème”. Evidemment il faudra se préoccuper de TOUS les travailler, mais l’idée est de pouvoir avancer à votre rythme, selon vos facilités particulières et personnelles.

Voilà pourquoi, à terme, vous trouverez dans cette méthode l’organisation suivante :

  • la grande section sur “Les Hauteurs”, avec, pour le moment, 3 niveaux de cours progressifs :
    • 1 – les notes
    • 2 – les intervalles, les altérations et les gammes
    • 3 – les accords, les échelles et la tonalité
  • la grande section sur “La Durée”, avec, pour le moment, 3 cours, les 2 premiers pouvant se faire en parallèle :
    • le temps de la musique
    • pulsation, tempo et rythme
    • Rythme (2), mesures, carrure.
  • et encore une section sur “Le Timbre”
  • et une sur “L’Intensité”

Chaque niveau est constitué de plusieurs chapitres progressifs qui permettent de développer des compétences solides, “réelles et appliquables”. Ainsi, la présentation de la théorie est complètement intégrée à un discours qui la rend à la fois facilement compréhensible et réellement pratique. Le tout sans oublier de nombreux exercices ! Une attention particulière est aussi donnée au problème de la motivation, au lien avec la culture musicale, …

Enfin bref, il est difficile de vous décrire complètement cette approche, car j’ai la sincère impression que cela ne ressemble à rien de connu…

5 – Cette méthode va-t-elle vous convenir ?

La question du “autrement” :

Tout le monde a une idée de ce à quoi “devrait ressembler” un cours. Par exemple, à la sortie de l’école, j’entendais les mamans des petits CP s’expliquer entre elles comment le maître aurait dû apprendre à lire à leurs enfants… … et il suffit d’un dîner entre parents pour qu’au moins un moment soit consacré à ces profs qui ne s’y prennent pas comme il faut ! Certaines personnes m’ont également fait part de leur étonnement et de leur difficulté à rentrer dans ma méthode à cause de son ton familier qui ne fait pas très sérieux… !!!

C’est vrai que, parce que le solfège est une discipline importante qui demande de faire des efforts, on trouve effectivement dans l’immense majorité des méthodes un style extrêmement académique : pour le coup, tout est TRÈS sérieux, de la mise en page aux phrases ! Et comme, avec ces méthodes, on ne rigole pas (!), les élèves se sentent rassurés sur la grande qualité de ce qu’ils apprennent.

Je pense, comme je l’ai déjà expliqué, que ce côté sérieux n’est non seulement pas nécessaire, mais est même souvent un obstacle pour les élèves. J’estime sincèrement vous offrir des cours d’une qualité qu’on ne trouve pas facilement, mais pour en profiter, il est vrai qu’il faut être à l’aise avec le côté décontracté et faussement léger de mes présentations ; il faut accepter de passer par des chemins qui semblent, au premier abord, n’avoir aucun rapport avec la musique ; il faut accepter de se laisser surprendre et me faire confiance sur le fait que mes exercices visent toujours à être précis et efficaces, tous farfelus qu’ils puissent paraître.

Alors avant de vous inscrire, vérifiez que mon style peut vous convenir, et pour ça, il suffit de lire quelques-uns de mes articles dans le #DicoAudio par exemple.

La question du temps de travail :

D’après ce que j’ai constaté avec mes élèves “testeurs” il faut prévoir en moyenne 1h30 de travail personnel par semaine (un peu plus ou un peu moins selon votre feeling vis à vis des notions.. ou selon les contraintes ponctuelles d’emploi du temps !). Mais il vraiment souhaitable que ce travail soit réparti en 2 séances (ou plus), et si vous pouvez monter à 2 heures pour en faire 3 ou 4 fois dans la semaine, c’est encore mieux.

Honnêtement, si vous ne pouvez pas vous organiser pour avoir ce temps là, pendant lequel vous devez pouvoir être tranquille et concentré, je pense que ce n’est pas une super idée de vous inscrire. Car même si mes élèves trouvent ma méthode “ludique” et “passionnante” (selon leurs termes), il n’empêche que, comme tout apprentissage, il y a du travail à faire… Or quand on n’a pas assez de temps, on oublie d’une fois sur l’autre (au moins en partie) ce qu’on a appris, donc soit on continue mais c’est compliqué et fragile, soit il faut refaire et ça décourage de ne pas se sentir avancer.

C’est vrai que, malheureusement (ou pas), dans mon “autrement”, il y a des fondamentaux dont on ne peut pas se passer : le travail régulier par exemple, est – et sera – toujours irremplaçable… tant qu’on n’aura pas inventé des puces électroniques à brancher directement sur votre cerveau !

6 – Modalités d’inscriptions.

😁   Venez essayer !   😜